Angélique Kidjo
Fatoumata Diawara
Angélique Kidjo
Ce n’est pas un style, c’est une intention : partager et rassembler. Depuis qu’elle a fui la dictature du Bénin en 1983, elle chante la liberté et le métissage des cultures. Angélique Kidjo, voix puissante au timbre envoûtant, est une figure incontournable de la musique mondiale. Elle revient pour la sixième fois à Jazz à Vienne en 2026, dans une formation intimiste avec son quartet. L’artiste aux cinq Grammy Awards, transcende les frontières musicales, mélangeant jazz, afrofunk, R&B, salsa et musique traditionnelle africaine. Habituée des plus grandes salles du monde, comme le Carnegie Hall à New York, Angélique Kidjo ne cesse de surprendre. Son album Celia en 2019, hommage à Celia Cruz, réinvente les classiques de la salsa en y mélangeant des rythmes africains et cubains, brillamment mixés par Russell Elevado, l’ingénieur du son de l’album Voodoo de D’Angelo. Sans limites, elle a également collaboré avec Philip Glass, sur un album symphonique hommage à David Bowie, avec le prestigieux Los Angeles Philharmonic Orchestra. Engagée dans des causes humanitaires pour sauver la planète et pour l’éducation des enfants en Afrique, la diva insoumise promet une nouvelle fois de captiver Jazz à Vienne.
Line-up :
- Angélique Kidjo (voix)
- Thierry Vaton (piano)
- Rody Cereyon (basse)
- David Donatien (percussions)
- Grégory Louis (batterie)
Fatoumata Diawara
C’est une énergie. Une puissance. Un sourire. Une voix de l’Afrique qui compte. Qui raconte les souffrances d’une enfance confisquée et les joies de cette enfance retrouvée dans chaque pas de danse, dans chaque titre interprété dans sa langue maternelle, le bambara. Fatoumata Diawara est une envoûteuse, une agitatrice d’émotions, capable de faire pleurer et rire son public. Le faire danser surtout. Une femme libre avant tout qui a choisi de parler d’excision et de mariage forcé, des épreuves de sa vie qu’elle chante pour sauver d’autres enfants, pour rappeler que personne ne peut imposer à l’autre un quelconque destin. Fatoumata Diawara a fui le Mali à 19 ans pour écrire son histoire. Elle a compris que l’art – celui de la danse, du chant, de la comédie – était son chemin. Parmi une multiplication de projets, elle illumine le collectif Lalomali, créé par -M- (Matthieu Chédid). En 2025, les deux artistes présentaient Lamomali Totem, un album dans lequel ils rendent hommage à l’immense musicien, joueur de kora, Toumani Diabaté. Sur la scène du Théâtre Antique, Fatoumata Diawara précédera une autre voix de l’Afrique, Angélique Kidjo. Une soirée assurément bouillonnante ! Sur la scène du Théâtre Antique, Fatoumata Diawara précédera une autre voix de l’Afrique, Angélique Kidjo. Une soirée assurément bouillonnante !