Un regard flou

Depuis 2019, le festival Jazz à Vienne collabore avec le collectif des Flous Furieux, collectif de photographes aux profils singuliers (personnes en situation de handicap, souffrances psychiques, des difficultés sociales...) pour construire un nouveau regard sur la société et devenir des acteurs culturels. Le collectif intègre les équipes en tant que photographes officiels du festival pour capter le festival sous toutes ses coutures.

Un regard flou

Nous les Flous, ça faisait longtemps qu’on faisait de la photo. Mais c’est Jazz à Vienne qui nous a fait comprendre que nous étions des photographes. En nous accueillant en égaux. En partenaires. En considérant notre travail pour ce qu’il vaut, et pas pour qui nous sommes. C’est dans cet espace extraordinairement inclusif que nous avons pu devenir le meilleur de nous-même. Dans ces conditions, devenir photographe, c'est assurer un accès au monde par toutes les portes, côté scène, côté coulisses, c'est un moyen de rencontrer des personnes, c'est aussi se doter d'un langage puissant et beau.

Gregory Rubinstein, coordinateur des Flous Furieux.

Découvrez ici les capsules produites par le collectif des Flous Furieux

Capsule 1 : Biréli le flou

Quand Vincent se retrouve à photographier le musicien qui signe la BO de sa vie, Biréli Lagrène. Où vous apprenez que les ingénieurs du son du temps des Romains étaient très bons, que Biréli procure des pointes de kif à plus de 360 km/h et que Vincent n'a pas besoin d'éducateur car il n'est pas un produit chimique à contenir, prêt à exploser...

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